Ce mardi, le G7 a décrété un débrayage à partir de 9 heures suivi d’une assemblée générale à la bourse du travail de Diourbel. Le mot d’ordre a été largement suivi par les enseignants.
Selon Modou Thiam Secrétaire général départemental du CUSEMS et coordonnateur du G7, cela a été une grande satisfaction de voir tous les enseignants débrayer à partir de 9 heures et venir assister massivement à l’assemblée générale décrétée par le G7.
Les raisons qui ont fait sortir les enseignants du G7 de leur gong c’est le retard constaté dans le traitement des points de revendications.
Parmi ces revendications il faut noter la révision du décret 2006-347 et les décréts concernant les décisionnaires.
Il faut ajouter à cela la surimposition sur les rappels qui dépasse les 40%, le relèvement des budgets des établissements scolaires, la correction du système de rémunération dont l’État a pris l’engagement de le régler depuis 2022, la formation des enseignants dont une cohorte a été à la FASTEF depuis le 04 Août 2025 mais les cours tardent à démarrer pour la formation diplômante et qui parle d’enseignant doit parler au préalable de formation.
« Voilà les points qui nous ont poussé aujourd’hui après avoir décrété « l’octobre rouge » avec un plan d’actions d’alerte, mais on constate que le gouvernement s’est enlisé dans un mutisme extraordinaire, raison pour laquelle le deuxième plan d’actions sort avec des assemblées générales afin de recueillir le point de vue de chaque enseignant pour avoir une orientation de cette lutte » soutient Modou Thiam SG departemental du Cusems et coordonnateur du G7
