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Cooperation: Bourges et Diourbel signe une convention pour le projet Diiso

La mairie de Diourbel et celle de Bourges en France ont signé ce lundi dans la salle Fatoumata Ka de la commune de Diourbel une convention de partenariat avec le projet « Diiso » pour la gestion des zones humaines pour une meilleure prise en charge des marais.

Selon Aline Tine deuxiéme adjoint au maire de Diourbel chargé de la coopération et des partenariats , cette signature de convention découle d’un long processus qui a demarré en 2018 par l’entremise d’un citoyen de Diourbel dénommé Pape Cheikh Sylla. Ce qui a valu un premier contact avec la mairie de la ville de Bourges en France.
 » Ce matin il s’agit de la signature de convention pour le projet « Diiso ». Il s’agit fondamentalement d’un axe de coopération basé sur la gestion des zones humides qui créent des difficultés aux maraîchers qu’il s’agit de valoriser au profit des acteurs à la base » a déclaré Aline Tine.
Le projet « Diiso » est sorti des entrailles du premier projet  » Boudiou » un acronyme qui signifie  » Bourges -Diourbel » qui a pris fin en 2022.
 » Aujourd’hui il s’agit de signer une convention entre les deux villes. Une convention de partenariat pour voir dans quelle mesure on pourrait prendre en charge ces marais là en tenant compte de celles de Bourges, calquer sur la ville de Bourges » soutient l’adjoint au maire de Diourbel.
Dans cet ordre des études sont en train d’être faites par des scientifiques dont l’université Alioune Diop de Bambey et celle de Bourges et aujourd’hui il s’agissait de parachever cela par un acte administratif en signant cette convention cadre, un partenariat entre les deux villes.
Constance Bonzuelle maire adjointe de la ville de Bourges en charge des relations internationales souligne que cette convention permet d’inscrire un partenariat durable.
 » On a le projet « Diiso » qui est la suite du projet « Boudiou » instauré depuis plus de sept ans. C’est un projet qui s’articule autour de trois axes » a-t- elle dit avant d’ajouter que le projet est financé à plus de 70% par le ministère de l’Europe et des affaires étrangères en collaboration avec le ministère de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’aménagement des territoires et cela répond à des enjeux nationaux des deux pays.

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